Depuis début septembre, des ateliers mensuels sur l’alimentation durable ont débuté dans les locaux du CPAS d’Ixelles. Rencontre des Continents propose chaque mois un atelier à thème aux participants. Lors du premier atelier, en septembre, nous avions réfléchi aux critères d’une alimentation écologique et durable. Nos cuisiniers amateurs ont ensuite exploré les tartinades végétales et leurs variantes. Ce mois-ci, on se rassemblait pour cuisiner des restes.
Une affaire d’imagination.
Au lieu de proposer des recettes toutes faites qui ne correspondraient qu’aux restes amenés, nous nous sommes questionnés sur ce qui était nécessaire pour accommoder des « fonds de plats ». De quoi a-t-on besoin pour transformer ce qui traine dans le frigo en plat complet ?
Tout d’abord, nous nous sommes demandé ce qu’est un plat complet, une bonne occasion de parler de l’assiette écologique et de son contenu.
Ensuite, nous avons parlé imagination car c’est de cela dont on a besoin pour pouvoir accommoder ce qui nous est resté sur les bras. Mais qu’est-ce que c’est l’imagination et surtout, d’où vient-elle ? On s’est dit que l’on avait plus de chances d’avoir des idées si on prenait le temps de les laisser germer. C’est comme le jardin, on ne peut pas faire pousser les plantes parce qu’on a besoin de nourriture, il faut anticiper et s’armer de patience.
On a aussi distingué plusieurs styles des personnes : celles qui ont besoin de partir d’un modèle pour créer et ceux qui vont avoir tendance à créer à partir de rien. Les premiers ont un profil que l’on qualifiera de reproducteur. Pour eux, il est important de lire des recettes et de les reproduire à l’identique afin de stocker les idées à éventuellement transformer par après en ajoutant leur touche petit à petit. Ils auront parfois du mal à oser s’éloigner de la recette. Les seconds, eux, ne vont avoir aucun mal à partir de l’ingrédient pour créer quelque chose de complètement original. Il faut qu’ils se laissent expérimenter. Mais ils risquent parfois de se laisser emporter par leur créativité et d’aboutir à des associations malheureuses. Ce type de profil peut avoir des difficultés à suivre des recettes mais il sera important de le faire quand-même afin d’acquérir des « repères » au niveau des associations de goût ou des techniques de cuisine. Ces repères assureront une structure solide pour les expérimentations.
Afin de passer à la pratique, les participants ont été mis devant un assortiment de vivres avec la mission de laisser courir leur imagination et le résultat a été plutôt savoureux !
Depuis début septembre, des ateliers mensuels sur l’alimentation durable ont débuté dans les locaux du CPAS d’Ixelles. Rencontre des Continents propose chaque mois un atelier à thème aux participants. Lors du premier atelier, en septembre, nous avions réfléchi aux critères d’une alimentation écologique et durable. Nos cuisiniers amateurs ont ensuite exploré les tartinades végétales et leurs variantes. Ce mois-ci, on se rassemblait pour cuisiner des restes.
Une affaire d’imagination.
Au lieu de proposer des recettes toutes faites qui ne correspondraient qu’aux restes amenés, nous nous sommes questionnés sur ce qui était nécessaire pour accommoder des « fonds de plats ». De quoi a-t-on besoin pour transformer ce qui traine dans le frigo en plat complet ?
Tout d’abord, nous nous sommes demandé ce qu’est un plat complet, une bonne occasion de parler de l’assiette écologique et de son contenu.
Ensuite, nous avons parlé imagination car c’est de cela dont on a besoin pour pouvoir accommoder ce qui nous est resté sur les bras. Mais qu’est-ce que c’est l’imagination et surtout, d’où vient-elle ? On s’est dit que l’on avait plus de chances d’avoir des idées si on prenait le temps de les laisser germer. C’est comme le jardin, on ne peut pas faire pousser les plantes parce qu’on a besoin de nourriture, il faut anticiper et s’armer de patience.
On a aussi distingué plusieurs styles des personnes : celles qui ont besoin de partir d’un modèle pour créer et ceux qui vont avoir tendance à créer à partir de rien. Les premiers ont un profil que l’on qualifiera de reproducteur. Pour eux, il est important de lire des recettes et de les reproduire à l’identique afin de stocker les idées à éventuellement transformer par après en ajoutant leur touche petit à petit. Ils auront parfois du mal à oser s’éloigner de la recette. Les seconds, eux, ne vont avoir aucun mal à partir de l’ingrédient pour créer quelque chose de complètement original. Il faut qu’ils se laissent expérimenter. Mais ils risquent parfois de se laisser emporter par leur créativité et d’aboutir à des associations malheureuses. Ce type de profil peut avoir des difficultés à suivre des recettes mais il sera important de le faire quand-même afin d’acquérir des « repères » au niveau des associations de goût ou des techniques de cuisine. Ces repères assureront une structure solide pour les expérimentations.
Afin de passer à la pratique, les participants ont été mis devant un assortiment de vivres avec la mission de laisser courir leur imagination et le résultat a été plutôt savoureux !
Depuis début septembre, des ateliers mensuels sur l’alimentation durable ont débuté dans les locaux du CPAS d’Ixelles. Rencontre des Continents propose chaque mois un atelier à thème aux participants. Lors du premier atelier, en septembre, nous avions réfléchi aux critères d’une alimentation écologique et durable. Nos cuisiniers amateurs ont ensuite exploré les tartinades végétales et leurs variantes. Ce mois-ci, on se rassemblait pour cuisiner des restes.
Une affaire d’imagination.
Au lieu de proposer des recettes toutes faites qui ne correspondraient qu’aux restes amenés, nous nous sommes questionnés sur ce qui était nécessaire pour accommoder des « fonds de plats ». De quoi a-t-on besoin pour transformer ce qui traine dans le frigo en plat complet ?
Tout d’abord, nous nous sommes demandé ce qu’est un plat complet, une bonne occasion de parler de l’assiette écologique et de son contenu.
Ensuite, nous avons parlé imagination car c’est de cela dont on a besoin pour pouvoir accommoder ce qui nous est resté sur les bras. Mais qu’est-ce que c’est l’imagination et surtout, d’où vient-elle ? On s’est dit que l’on avait plus de chances d’avoir des idées si on prenait le temps de les laisser germer. C’est comme le jardin, on ne peut pas faire pousser les plantes parce qu’on a besoin de nourriture, il faut anticiper et s’armer de patience.
On a aussi distingué plusieurs styles des personnes : celles qui ont besoin de partir d’un modèle pour créer et ceux qui vont avoir tendance à créer à partir de rien. Les premiers ont un profil que l’on qualifiera de reproducteur. Pour eux, il est important de lire des recettes et de les reproduire à l’identique afin de stocker les idées à éventuellement transformer par après en ajoutant leur touche petit à petit. Ils auront parfois du mal à oser s’éloigner de la recette. Les seconds, eux, ne vont avoir aucun mal à partir de l’ingrédient pour créer quelque chose de complètement original. Il faut qu’ils se laissent expérimenter. Mais ils risquent parfois de se laisser emporter par leur créativité et d’aboutir à des associations malheureuses. Ce type de profil peut avoir des difficultés à suivre des recettes mais il sera important de le faire quand-même afin d’acquérir des « repères » au niveau des associations de goût ou des techniques de cuisine. Ces repères assureront une structure solide pour les expérimentations.
Afin de passer à la pratique, les participants ont été mis devant un assortiment de vivres avec la mission de laisser courir leur imagination et le résultat a été plutôt savoureux !